Une longue et argumentée interview que voici, et qui évoque moult références culturelles et jeux vidéo dont Maître Roger était parfaitement ignorant. C'est aussi cela, la richesse du blog suprême : découvrir de nouveaux univers. Et cela est beau.
#monanalyse
le 16 DECEMBRE 2021,
L'interview de Rifampici[N]e (@rifampicine)
Pour en savoir plus :
Le Tomberry Musical
Bonjour Rifampici[n]e, qui es-tu ? Où vas-tu ?
![Rifampici[N]e](PP/136.jpg)
Bonjour Maître Roger. Je m’appelle Valentin, j’ai 35 ans (mais peut-être 36 au moment où paraîtra cette interview), je suis médecin généraliste, mais actuellement je travaille dans un service de gériatrie en bordure de Paris.
Pour ne pas me définir que par mon travail je complèterai en disant que je suis un amateur de jeux vidéo et de jeux de mots parce que sans humour les journées sont bien trop longues.
Où je vais ? Difficile à dire. Dans la bonne direction j’espère, mais ça je ne le saurai qu’avec le temps.
Quel est le sens de ton pseudonyme ? Et de ce [N] entre crochets ?
La rifampicine est un antibiotique que l’on peut utiliser contre la tuberculose ou lorsque l’on est cas contact d’une personne avec une méningite bactérienne (liste non exhaustive). C’est aussi un antibiotique qui colore les sécrétions (larme, urine....) en orange. Donc c’est parfait pour dessiner Casimir dans la neige après quelques pintes.
Quant au [N] il signifie mon attachement à feu la chaine de télévision Nolife, qui a beaucoup compté pour moi, encore aujourd’hui.
Je ne calcule que maintenant mais ça me fait un pseudonyme mélangeant médecine et pop culture japonaise /jeux vidéo, j’aurai voulu le faire exprès que je n’y aurais pas pensé.
Dessiner Casimir en pleurant ? 😳 Quel talent !
Qui n’est jamais sorti après une nuit enneigée, en écoutant l’Adagio d’Albinoni tout en découpant des oignons et en repensant à Rémi sans famille, après avoir pris de la rifampicine pour dessiner Casimir avec ses larmes dans la couche de neige qui recouvre le sol ?
En effet. Qui n’a pas fait ça. Hormis des gens sains d’esprit, bien sûr.
Comment est né ton podcast « Le Tomberry Musical » ?
Depuis des années je suis un grand amateur de jeux vidéo mais surtout des musiques de jeux vidéo. J’aime les partager, en découvrir de nouvelles etc. C’est quasiment 90% des musiques que j’écoute pour être honnête.
Il y a quelques années, via Twitter j’ai découvert le podcast des Démons du MIDI et j’ai eu l’impression que quelqu’un avait cherché comment créer le podcast parfait pour moi avant de lui donner vie.
En parallèle j’ai découvert Third Editions, une maison d’édition spécialisée dans les jeux vidéo mais aussi la pop culture (mangas, animés, séries...) et via leurs livres j’ai appris énormément de choses que l’envers du décor derrière les jeux vidéo, l’histoire de leur création, les hasards et les coïncidences, mais aussi les analyses de ces œuvres qui m’avaient tant passionnées.
Alors j’ai voulu partager à mon tour mon amour pour cet univers et ses histoires de l’ombre. J’ai lancé le podcast en 2017 et depuis je reçois de très gentils messages, des encouragements et des retours positifs. Je partage ma passion et en échange je reçois des mots qui font chaud au cœur, que demander de mieux ? Des Dinosaurus peut-être, mais ce n’est pas exclusif.
« Des Dinosaurus » ? C’est-à-dire ? Qui sont ces gens ?
Les vrais descendants sur l’arbre phylogénétique des dinosaures. La preuve que si Jurassic Park était scientifiquement fiable les dinosaures auraient eu un coté chocolaté. Et accessoirement le meilleur gâteau industriel de grande distribution à l’unanimité d’après un sondage où j’étais la seule personne interrogée.
C’est quoi le concept ? Pour quel public ?
Ce sont des podcasts, que j’essaye de faire tenir sur 30 minutes maintenant mais qui peuvent parfois s’étaler en 2 épisodes d’une heure, où je vais raconter la création d’un jeu, présenter les équipes derrière, les compositeurs et compositrices, apporter quelques anecdotes, me perdre en digressions multiples, le tout entrecoupé de morceaux en rapport avec le sujet de l’émission.
Mon souhait est de réussir à faire une émission qui s’adresse aux personnes qui aiment les jeux vidéo, et qui y plongent régulièrement la tête la première, mais aussi de montrer aux personnes moins portées sur ce média qu’il n’est pas un média que pour les enfants / ado, et qu’il regorge de richesses musicales, narratives, interactives.
Pour les deux ans de ton podcast, tu as écrit un billet anniversaire où figure en particulier un « Making of » où tu expliques comment créer un « Tomberry Musical ». Je cite :
D’un point de vue purement pragmatique, pour faire un Tomberry Musical, il vous faut :
Un sujet
De la documentation
Un logiciel de traitement de texte ou un stylo et du papier
Un micro
Un logiciel de capture audio
Un logiciel de montage
Un internet qui marche, sauf si vous voulez partager votre podcast via des clés usb
Tu n’as pas peur de te faire piquer l’idée en donnant tous ces détails ?
Je ne demande que ça. Si vous voulez créer un podcast, ou tout autre format de média, foncez ! Je n’ai aucune formation dans l’audio, ni dans l’écriture, et encore moins dans le jeu vidéo. Mais cela n’a pas été un frein pour tenter l’expérience. Alors je n’ai pas percé et ça restera un podcast de niche, mais ce n’est pas là l’important. Je partage quelque chose que j’aime, je n’oblige personne à l’écouter, et je ne me pose pas la question de ma légitimité pour faire cela.
Bien sûr qu’il y a mille fois mieux à côté et que je n’ai pas inventé un concept, et alors ? Si on s’arrêtait là il n’y aurait que bien peu de contenu dans tous les domaines. Au bout d’un moment le syndrome de l’imposteur il faut savoir lui dire « merde », surtout pour parler de ce qu’on aime.
Il y aura toujours des cons et des rageux pour nous dire que d’autres font mieux etc, mais c’est pas pour eux qu’on fait ça, c’est pour nous et celles et ceux qui ont envie de partager ça avec nous.
Et l’imposteur se laisse dire merde sans répondre ? Sans se battre ?
Pas sans répondre. Le syndrome reste toujours là, du moins je le suppose. Et dans le fond c’est peut-être aussi un garde-fou pour ne pas devenir une énième personnalisation de l’effet Dunning-Kruger.
C’est toujours une question de juste milieu (Aristote représente), de toujours remettre en question nos compétences pour continuer à progresser, mais ne pas s’empêcher de se lancer parfois par peur de ne pas être légitime, encore plus quand on ne demande rien en retour.
Merci pour cette longue et riche réponse.
Tu es arrivé sur Twitter en juillet 2015. Où étais-tu avant ? Quels étaient tes réseaux ?
Avant Twitter j’étais sur Final Fantasy XIV.
C’était mon réseau social, vu que je n’ai jamais été très porté sur Facebook. Bien plus vivant, parfait pour échanger sur tout et rien avec des gens qui sont initialement des inconnus pour nous avant de devenir des amis, et de se voir les uns et les autres évoluer dans nos vies, avec les hauts et les bas, le tout en vivant des aventures follement épiques.
Et croyez-moi, il n’y a pas moins de drama dans une guilde de Final Fantasy XIV que sur Twitter, donc pour les amateurs et amatrices de cet aspect du réseau à l’oiseau bleu, pas de problème.
Qu’est-ce que Twitter a rendu possible dans ta vraie vie qui n’aurait pas été possible sans Twitter ?
Des rencontres que seuls un incroyable hasard aurait permis dans le monde réel, mais la liste serait trop longue ici. Découvrir des collègues avec les mêmes failles, et les mêmes doutes que moi, ce qui est extrêmement rassurant. Me lancer dans mes podcasts bien sûr, et l’écriture d’un livre sur un jeu vidéo, un rêve fou de gosse qui est devenu réalité parce que j’ai pu rencontrer de merveilleuses personnes ici.
Plein de choses en fait.
Même humainement je pense que Twitter m’a permis de réaliser beaucoup de choses que je voyais comme normale, étant en réalité des privilèges, et me pousser à me remettre en question sur plusieurs points, en tant qu’homme, personne blanche et hétérosexuelle, médecin aussi et sur beaucoup d’autres aspects. Je n’aurai pas l’audace de dire que tout le travail a été fait, mais je pense qu’aujourd’hui je suis un peu moins con qu’avant d’arriver sur Twitter.
D’après mes suprêmes recherches, ton tweet le plus populaire est un tweet de niche auquel je ne comprends rien. Peux-tu m’apporter quelque éclairage utile ?
Ouais, non, définitivement pas mon Zelda préféré. https://t.co/8UfZL8Gcp7
— Rifampici[N]e (@rifampicine) October 17, 2021
Ahahah, c’est celui-là le plus populaire ? Bon c’est pas mon préféré, mais c’est toujours bon pour l’ego de se dire qu’on a percé au moins une fois sur Twitter.
C’est une blague par rapport au jeu The Legend of Zelda : A Link Between Worlds, qui est sorti en 2013 sur DS. En voyant le titre de l’article j’ai imaginé Link se battant entre le virus de l’herpès et la maladie d’Alzheimer et ça m’a fait sourire.
C’est beau de sourire. D’autres choses t’ont fait sourire, récemment ?
Des bonnes nouvelles sur des résultats d’examens ou des améliorations cliniques qui m’ont permis de dire à des patients qu’ils allaient pouvoir sortir de l’hôpital prochainement.
Des lignes de dialogue dans Shin Megami Tensei V aussi, et ça ne je m’y attendais pas trop.
Ton interview a été recommandée par @Kalie_mero qui t’a nommée sa « perle de Twitter ». Où te trouvais-tu et que faisais-tu quand tu as lu cette merveilleuse nouvelle ?
Je ne sais plus ce que je faisais. Je scrollais sûrement sur Twitter au lieu de faire quelque chose d’utile quand j’ai vu passer la notification. Faut que je revoie le tweet mais s’il a été publié à un horaire de boulot, je vais dire que je l’ai lu en retard le soir en regardant mon téléphone sinon ça ne va pas faire très sérieux.
On va dire que tu étais sérieux. Pour ton image ça me semble important.
Vu le niveau moyen des calembours que je peux sortir sur Twitter, il n’y a plus grand chose à préserver en termes de crédibilité. Mais j’apprécie l’idée.
Certes mais quand même.
Quels ont été tes sentiments quand tu as lu la charmante recommandation de @Kalie_mero ?
La surprise en premier lieu, une agréable surprise, j’ai été très touché d’être proposé par @kalie_mero parce que c’est extrêmement difficile de choisir qui suggérer, la liste des possibilités est grande, donc forcément ça fait chaud au cœur de voir qu’on a cette chance. Après ça met la pression parce qu’on espère être à la hauteur des espérances, de réussir à être aussi intéressant durant l’exercice. Et ne nous mentons pas, tout ça a été suivi par le petit plaisir narcissique de me dire que j’allais aussi avoir droit à mon interview.
Chaud aux cœur, se mettre en hauteur, petit plaisir… l’interview est-elle une expérience sexuelle ? 🤔
Se mettre en hauteur pour une expérience sexuelle c’est un coup à finir aux urgences. Je ne recommande pas.
Merci pour ta recommandation éclairée.
À ton tour, qui souhaites-tu recommander pour une prochaine interview ?
J’ai pu réfléchir à cette question et je souhaiterai recommander @MisereLactee parce que c’est une des personnes qui compte le plus pour moi, depuis presque 15 ans maintenant. Une des personnes les plus fascinantes, intelligentes et captivantes que je connaisse.
Alors son compte Twitter lui sert quasi-uniquement à partager des publications et des articles qu’elle a aimé et ses interactions directes sur ce réseau social sont très rares, mais malgré tout je ne me vois pas proposer quelqu’un d’autre, c’était une évidence à partir du moment où j’ai su que j’allais passer par cette question.
J’ai vraiment l’impression que cette question rituelle perturbe de plus en plus la vraie vie de mes interviewés…
C’est une occasion qui ne se présente qu’une fois, et on ne peut choisir qu’un nom. Du coup, soit on se retourne la tête, soit on la joue Highlander et on donne des épées aux personnes que l’on pourrait choisir en leur disant qu’il ne peut en rester qu’un•e, tout en chantant Princes of the Universe en fond.
Je capte quand même aucune de tes références culturelles, elle est très angoissante, cette interview. Enfin bref, continuons.
Depuis que tu connais Maître Roger, comment ta vie a-t-elle changé ?
Je commence la journée par lire quelques tweets qui se terminent par #monanalyse parce que tu tweetes pas mal tôt dans la journée. Je me replonge aussi dans mon ancien quartier en voyant tes photos sur les bords du quai du métro.
Et accessoirement j’ai commencé le yoga et réussi à avoir une PS5. C’était peu après avoir commencé à te suivre. Je laisserai les experts décider du degré de corrélation et de causalité de cette situation.
La causalité de mes suprêmes pouvoirs est évidente #monanalyse
Mon dos et ma ludothèque t’en remercient !
Plaisir d’offrir 🙏🏻
Tu n’ignores pas que la publication de ton interview va bouleverser ton destin : des milliers de fans chercheront chaque jour à te rencontrer, les femmes seront nues dans la rue et se jetteront sur toi. Comment te prépares-tu à cette nouvelle vie ?
Il faudrait que je me mette à la capoeira pour réussir mes esquives avec classe quand les gens se jetteront sur moi. Sinon plus simplement avec une demi-baguette coupée en deux, recouverte de beurre salé et de chocolat en poudre. Parce que c’est comme ça que devrait se préparer toutes les nouvelles vies.
Sinon il va falloir que je trouve un tuto pour me raser en mode « barbe de 3 jours » correctement parce que je n’arrive jamais à égaliser et si je dois avoir une vie médiatique qui explose il vaut mieux que je corrige ça.
La barbe de 3 jours c’est très simple : tu te mets un rappel dans Outlook pour te raser tous les 3 jours et tu n’accordes d’interview que le troisième soir. Ça entretiendra le mystère, en plus, les journalistes adorent ça.
Je vais tester ça. Bouge pas, je reviens dans 72h.
C’est quoi au fait, la capoeira ?
Un art martial, très impressionnant qui mélange musique, danse, et des mouvements de combats. C’est assez fou à voir, même si juste en regarder 5 minutes me donne mal au dos et me montre l’étendue de ma non-souplesse.
Ah. Encore un truc pas fait pour moi.
Où souhaites-tu dîner avec Maître Roger quand tu seras devenu une star ?
Chez Koji, le restaurant teppanyaki d’Issy les Moulineaux. Une des meilleures expériences gustatives que j’ai pu vivre et là où j’ai gouté le meilleur saké de ma vie.
Deal 👍🏻
Mis à part les questions brillantes de Maître Roger, qu’as-tu lu de particulièrement marquant ces derniers temps ?
Je n’ai jamais qu’une seule lecture à la fois, je suis toujours sur 2 ou 3 livres en même temps, selon mes humeurs.
Récemment j’ai lu le manga Opus de Satoshi Kon qui est un petit bijou.
J’ai enchainé avec Rêver la réalité, le livre de Julien Sévéon qui analyse les œuvres de Satoshi Kon, que je dévore en ce moment.
Et en parallèle, il y a le roman Anatèm de Neal Stephenson que @lenneth__ m’a conseillé et je commence à tomber dedans au fil des pages.
Un mélange de Dune et du Nom de la Rose dit la couverture, mais moi j’y trouve surtout un peu du Jeu des Perles de Verre de Hermann Hesse, le plus grand livre que j’ai pu lire, alors forcément ça lui donne des arguments.
D’ailleurs j’en profite pour conseiller de suivre les recommandations de lecture de @lenneth__ pour les personnes qui ne la suivent pas encore.
Qu’il en soit ainsi.
Quelle musique as-tu écoutée pour répondre à cette interview ?
Une playlist aléatoire d’Epic Mountain. Ce sont les musiques des vidéos de l’excellente chaine de vulgarisation Kurzgesagt. Ces musiques sont planantes. Elles m’aident à calmer un peu le fil de mes pensées et à me concentrer sur ce que je fais pour ne pas m’éparpiller et ne pas être perturbé par la moindre stimulation extérieure.
Ah. Moi ce sont plutôt les variations Goldberg mais je comprends l’idée #jecomprends
Ça te donne un petit côté Hannibal Lecter du coup. Je vais peut-être ranger cette bouteille de chianti.
Mais non mais non. Pas d’inquiétude. Hu hu.
Et les jeux vidéos, dans tout ça ?
Un média unique, un art interactif qui n’en est qu’à ses balbutiements. Un univers incroyable où tous les styles se retrouvent. Un moyen de vivre des aventures, de voyager, de s’évader après une journée de travail, ou une journée difficile quelle qu’en soit la raison. Des créations derrières lesquelles se cachent des histoires parfois encore plus fascinantes que celle du jeu en lui-même. Un univers musical si vaste, qui est né de simple bip avant d’évoluer vers des symphonies orchestrales, tout en se déclinant sous toutes les formes possibles et imaginables. Des émotions parfois si vives qu’elles demeurent des années après. Des moments de partages aussi, des souvenirs de Noel à découvrir des jeux et des consoles sous le sapin. La joie de découvrir et de faire découvrir des titres qui marquent et sur lesquels on échange a posteriori.
Une passion, tout simplement.
Ah tiens ? Ça peut être simple, une passion ? (Prends une copie double, tu as deux heures)
À cette question, un étudiant au bac a répondu « oui » avant de rendre sa copie. Il a eu 0, parce que faut pas déconner non plus.
Sinon le Petit Larousse définit la passion comme un « état affectif intense et irraisonné qui domine quelqu’un ».
Du coup je dirai que c’est simple d’avoir une passion, parce qu’on ne choisit pas, mais que ça peut l’être quand il s’agit de la gérer et de la conjuguer avec les autres pans de notre vie. Et je suis très surpris d’avoir eu assez de neurones pour répondre, un minimum sérieusement à cette question alors que je n’ai pas encore pris de petit-déjeuner.
Je suis admiration.
Merci beaucoup pour cette interview, Maître Roger. Je ne sais à quel point ce travail peut être chronophage, et tu le fais bénévolement, ce qui nous permet de découvrir des personnes au fil de tes interviews (et de celles de ton padawan aussi désormais). Tu prends de ton temps pour nous offrir ces découvertes humaines, mais aussi aujourd’hui pour m’offrir l’opportunité d’être à la place de l’interviewé.
Et je t’en remercie parce que je sais comme le temps libre pour soi-même peut parfois être rare.
Désolé pour les personnes qui pensaient peut-être lire des choses plus drôles peut être des calembours dans mes réponses, mais pour l’exercice aujourd’hui, le hasard des humeurs m’a poussé à être sérieux et j’espère que vous ne m’en tiendrez pas rigueur.
Merci, tu es bien urbain 🙏🏻
Et je pense que l’on n’est jamais déçu de découvrir le vrai gens derrière l’avatar. Ceux qui le seraient, parmi les millions de lecteurs du blog suprême, devraient reprendre un petit café et ça ira mieux.
C'était l'interview de Rifampici[N]e (@rifampicine)
Pour en savoir plus :
Le Tomberry Musical
avant...
après...
www.geekzone.fr
online.edhec.edu